article presse MIOM à Coat Pin

Télégramme du 23 février 2013 

Coat-Pin. L'utilisation de mâchefer suspendue

L'utilisation de mâchefer dans les travaux d'assainissement en cours dans le quartier de Coat-Pin Lanmeur, pour remblayer partiellement certaines tranchées, fait l'objet d'interrogations de la part des riverains. « La municipalité a été à l'écoute des inquiétudes dès qu'elle en a eu connaissance, conformément à ses engagements de protection de notre environnement », répond Sébastien Miossec, le maire, dans un communiqué. « L'emploi de ces matériaux est sévèrement réglementé et dans ce cadre, la municipalité a demandé aux autorités compétentes de procéder à des contrôles sur place dans les plus brefs délais et d'inspecter les justificatifs de bon usage de ces matériaux », explique le maire. « D'ores et déjà, les entreprises n'utilisent plus de mâchefers sur ce chantier jusqu'à nouvel ordre, sur demande de la municipalité, et dans l'attente des résultats des contrôles, qui seront communiqués en toute transparence. Elle engagera suite à ceux-ci les démarches qui s'avèreront nécessaires ».

 Ouest France du lundi 25 février 2013

Résidus de charbon : Le maire rassure - Riec-sur-Bélon


L'utilisation de mâchefers dans les travaux d'assainissement en cours dans le quartier de Coat-Pin Lanmeur fait l'objet d'interrogations de la part des riverains. Il s'agit de résidus issus de la combustion du charbon. Ils servent à remblayer partiellement certaines tranchées.
Le maire, Sébastien Miossec, veut rassurer : « L'emploi de ces matériaux est sévèrement réglementé et dans ce cadre, la municipalité a demandé aux autorités compétentes de procéder à des contrôles sur place dans les plus brefs délais et d'inspecter les justificatifs de bon usage de ces matériaux », écrit-il dans un communiqué.
« D'ores et déjà, les entreprises n'utilisent plus de mâchefers sur ce chantier jusqu'à nouvel ordre, sur demande de la municipalité, et dans l'attente des résultats des contrôles, qui seront communiqués en toute transparence. Elle engagera, suite à ceux-ci, les démarches qui s'avéreront nécessaires. La municipalité a été à l'écoute des inquiétudes dès qu'elle en a eu connaissance, conformément à ses engagements de protection de notre environnement. »


Droit de réponse à l'article dans le Télégramme du  2 mars

Droit de réponse à l'article précédent dans Ouest France  du 4 mars

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